Les modes de travail changent, et avec, de nouvelles problématiques apparaissent. Et si l’audio a pour un temps été considéré comme le parent pauvre de cette grande transition, la tendance semble s’inverser. Aujourd’hui, 57% des français s’estiment en effet plus sensibles à la qualité de l’environnement sonore qu’avant le confinement (Enquête CidB juil. 2020). Comment répondre à ce nouvel enjeu ? Faisons le point !
Il y a encore 3 ans, qui aurait cru que le travail à distance deviendrait un standard incontournable dans l’organisation du travail en entreprise ? Surement pas grand monde, et pourtant ! Désormais, 4 grandes entreprises françaises sur 5 ont fait le choix d’opter pour le télétravail - 54 % des employés de bureau travaillent en distanciel, au moins partiellement, depuis septembre 2021. Il y a 3 ans, qui aurait cru que les dirigeants et les salariés puissent se mettre d’accord sur la mise en place d’une organisation hybride, entre présentiel et home office ? Aujourd’hui, 84% des dirigeants se disent prêts à déployer ce modèle au sein de leur entreprise - pour 72% des employés, le travail hybride apparaît comme un avantage compétitif.
Un monde presque parfait
Un monde a priori parfait donc, qui induit pourtant tout un ensemble de points de friction.
« Avec le recul, nous nous rendons compte que le travail à distance engendre plusieurs problématiques notables, notamment au niveau des salariés et des managers. Concernant les premiers, nous observons une désocialisation globale, entraînant une augmentation des
arrêts maladies liés à des troubles psychosociaux. Parallèlement, les managers doivent composer avec une sorte de défidélisation mécaniquement liée au travail à distance. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que 1 manager sur 2 émet des réserves sur cette nouvelle organisation. Quoiqu’il en soit, le télétravail est bel et bien là, et il convient de s’adapter en conséquence. De cette manière, il est urgent, pour la santé des collaborateurs et des entreprises, de récréer un environnement propice à l’épanouissement, et donc à la productivité. Si les organisations ont d’abord perçu le télétravail comme un moyen d’économiser, il s’agit désormais d’investir dans les outils de travail et dans le bien être salarié » introduit pour nous Pierre Guiu, cofondateur d’Orosound.
Plaçant la R&D au cœur de son approche, l’entreprise souhaite ainsi répondre à ces enjeux en mettant à la disposition des professionnels des technologies et produits audio hautement performants. Le but ? Se rapprocher de la communication naturelle, comme si nous y étions !
Micro-casque : le nouveau must-have en entreprise ?
Si depuis l’avènement des organisations hybrides, les outils vidéo concentrent majoritairement l’attention, les répercussions du bruit au travail ont depuis largement rebattu les cartes
« Dans la vie professionnelle, les salariés évoluent désormais dans des environnements hétérogènes. Des millions d’entre eux doivent jongler entre journée au bureau et en télétravail, parfois dans des environnements très bruyants. Aujourd’hui, 2 actifs sur 3 se disent gênés par le bruit en situation de télétravail régulier, et 1 actif sur 2 au bureau » continue Monsieur Guiu.
Résultat ? Le coût social du bruit en France est aujourd’hui estimé à 155,7 milliards d’euros.
« Pour 73% des actifs, le bruit a des répercussions sur la «qualité» de leur travail, que ce soit au niveau de la concentration ou de la lenteur d’exécution. Par ailleurs, avec le télétravail, 74% des actifs français rencontrent des difficultés de compréhension de la parole lors d’échanges collectifs en visioconférence. Il est donc urgent d’offrir à l’ensemble des professionnels des outils audio au niveau de leurs exigences » précise encore un peu plus le dirigeant.
Dans ce sens, Orosound a mis au point une solution technologique inédite, allant bien au-delà du simple outil périphérique. Ici, le produit permet de filtrer et nettoyer le bruit environnant, de reproduire une conversation physique, sans voir les échanges impactés par la distance entre les interlocuteurs.
Le spécialiste de l’audio Made-in-France
Entreprise technologique, Orosound est reconnue pour son expertise en innovation acoustique et traitement du signal : sa technologie brevetée Tilde® Voice First a été récompensée à plusieurs reprises par le Ministère de la Recherche. Dédiée à faire avancer le domaine de l’audio, Orosound se différencie de la concurrence par la qualité d’écoute et la performance de ses technologies de « débruitage » embarquées dans ses casques.
« Aujourd’hui, les entreprises perdent 30 minutes par semaine à cause d’une mauvaise qualité audio induite par le distanciel. Les économies générées par la réduction des espaces de bureaux doivent donc désormais servir au rééquipement des collaborateurs. Ce n’est pas seulement une question de bien-être, il s’agit aussi et surtout de rentabilité » détaille davantage le cofondateur.
Au diapason du nouveau monde, l’approche Orosound s’articule également à travers une approche Made-in-France et responsable.
Seul fabricant à proposer des micro-casques de bureau Made-in-France à ce jour, l’entreprise souhaite fédérer ses collaborateurs et ses clients autour de valeurs fortes ; il en va de la réussite des organisations, et de l’épanouissement des personnes qui les constituent.
« Notre proposition répond point par point aux exigences des salariés, des managers, et de leur nouvel environnement de travail. Pour autant, notre ADN, orienté R&D, nous pousse toujours à penser à l’étape suivante. La virtualisation des environnements sonores, la personnalisation des casques, ou encore l’adaptation de nos solutions aux capacités auditives des utilisateurs sont actuellement des axes de réflexion majeurs pour notre entreprise » ponctue finalement Pierre Guiu.
*Études : Étude Opinion Way, 202 - Baromètre Télétravail et Organisations hybrides 2022 de Malakoff Humanis, - Enquête JNA- IFOP, octobre 2021, - Étude IPSOS « Understanding Sound Experiences » 2021 - Enquête JNAIFOP 2020 - Sondage Opinion Way 2020, *Fabriqué en France, Le guide du marquage d’origine, Direction Générale des Entreprises.
